Bon, on commence avec la fin de la saga avec Menace, intitulé Menace sur Manhattan, de Guggenheim et Larroca. Superbe fin, avec le vilain qui s'en va dans un nuag de fumée, comme dans les vielles BD. D'ailleur, le ton est très vielle BD depuis que Mephisto a changer la vie de Spidey. Et en passant, Jackpot ne semble pas être cette "Sara Ehret", donc les paris sur sa vrai identité sont toujours d'actualité, voir quizz sur le côté...
On suit avec Le Responsable, c'est Spider-man, de Gale et Jimenez. Les déssins sont moyens mais suivable. Spidey récupère enfin ses lances-toiles et on voit réaparaitre Freak, un drogué qui vivait grâce à l'association où travail Tante May. Le drogué prennant une aiguille dans le labo de Connors, croyand que c'est de la drogue, devient un véritable Freak ! Au passage on revoit Curt Connors seul, rien ne semble avoir changé pour lui, il n'a toujour qu'un bras.
On continue avec Rififi à Broadway, sscénarisé par Parker (JEFF Parker, pas Peter Parker...) et déssiné par Kirk. Malgré les déssin moyens, l'histoire est totalement pourrie. C'est le genre d'histoire bouche-trou qui ne servent à rien, on peut quand même remarquer que le Peter Parker de la fin ne ressemble plus du tout au début au niveau physique, on croirait une autre personne...
Enfin, un épisode des Thunderbolts un peu moins bien que d'habitude, intitulé Des Anges en Cage, de Ellis et Deddato Jr. En quelques mots, tout le monde pète un cable. D'Osborn se la rejouant à la boufon à Venom qui bouffe tout le monde, en passant par Swordsman qui fait péter le Zeus.
En bref, un Spider-man 105 bouche-trou pour (mieux) préparer la suite.
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