On commence donc avec Une histoire 2 Jackpot (admirez le jeu de mot...), de Guggenheim et McKone. Ce premier numéro amuse-bouche est en fait un annual qui nous apprend enfin la vérité sur l'identité de Jackpot : Sara Ehret est une super-héroïne ayant passé par le camp Hammond (pour ceux qui ont du mal à suivre, chaque héros de l'univers Marvel est maintenant obligé de se recenser comme tel et doit passer par le camp de "formation de super-héros" Hammond, sous peine d'être considérer comme un fugitif comme notre cher Spidey) mais ne voulant pas être une super-héroïne, elle a vendu sa licence de super-héroïne à une certaine Alana Jobson, alias Jackpot (cette dernière, n'ayant pas de super-pouvoirs à proprement dit, se "donne" des pouvoirs à coup de picouse). Voilà, encore une énigme résolue ! Sinon à part ça on peut apercevoir Reed Richards qui parle tranquillement à Spidey alors que ce-dernier est un non-recencé ou encore un certain Walter Declun, nouveau méchant ayant entre autre survécu aux trois griffes de Wolverine. En gros, mis à part l'histoire de Jackpot, cet épisode n'est certainement pas le meilleur qu'on ai vu.
On suit avec Flashback, de Guggenheim et Kitson, épisode hommage au soldats envoyés en Irak et en Afghanistan. Cet épisode est centré sur Flash Thompson et c'est le meilleur épisode de ce numéro avec une fin fracassante, l'histoire est assez simple : un général vient à la rencontre de Flash (ce-dernier fut envoyé en Irak en tant que soldat) pour voir s'il mérite la médaille d'honneur, à l'occasion Flash lui raconte sa petite balade en terre battue. Un épisode assez tragique donc, qui nous fait penser à l'épisode homme aux deux tours jumelle du Wall Street Center qu'on avait pu voir dans les pages de Spider-Man (d'ailleurs je tient à rendre hommage car aujourd'hui ça fait 8 ans qu'a eu lieu l'attentat contre les deux tours jumelles). Toutefois on peut voir quelques touches amusantes comme par exemple d'où vient le surnom Flash : en fait ce surnom remonte à la première fois que le blondin à fait l'amour :
" C'est pas grave, Eugène (le vrai nom de Flash). C'était bien. Vraiment."
On continue avec Les Monstres des Bas-Fonds, épisode "qui ne sert à rien", servi par Giffen et Tobin au scénario et Burchett accompagné de Coover au dessin. Un épisode assez mitigé où l'on voit Spider-Man faire équipe avec le Faucon pour combattre l'Hydra. Des dessins assez potables avec assez de détails, rien qui restera dans les annales pourtant. Notons la dernière page assez intrigante, on voit un gamin tombé sur une cache d'arme avec en particulier un planeur du Bouffon Vert : ce gamin serait-il Menace ? Si on se rappelle bien, Norman Osborn nous apprenait que Menace avait trouvé ses armes dans une des caches de Osnorn...
Enfin on termine avec Le Candidat !, de Waid et Olliffe. L'histoire nous parle d'un mec qu'on ne connaît pas (Stephen Colbert pour être précis) qui se présente aux élections ! Bon allez, je vais vous faire plaisir je vais vous expliquer qui est ce Colbert, c'est un personnage réel qui pour comparaison est une sorte de Cauet en version américaine, et en plus maigre aussi. Bref, une autre histoire "qui ne sert à rien".
Un numéro alternant moyens, génial et pourri.
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