On commence avec les deux épisodes de Dan Slott et John Romita Jr, 36 façons de mourir (2 et 3). Norman Osborn débarque à New York accompagné de ses Thunderbolts (enfin, plus précisément Venom, l'Homme Radioactif et Songbird) pour enfin éliminer Spider-Man. C'est ainsi que Venom sent l'odeur de Spidey au RAFT (foyer pour sans-abri où travail May Parker) et tombe sur son ancien hôte : Eddie Brock ! Pendant ce temps, Menace continue de mettre des batons dans les roues de la campagne de Bill Hollister et finit par se retrouver nez à nez avec Norman Osborn ! Franchement, c'est certainement l'un des meilleurs épisodes de Spider-Man depuis Brand New Day, on a des rencontres qu'on attendait depuis longtemps (Norman Osborn/Harry Osborn, Venom/Eddie Brock et prochainement Norman Osborn/Menace), le nouveau vilain (qui se fait appeller l'Anti-Venom) est tout simplement excellent, à la foi un demi-gentil et alliéné mental, le combat Anti-Venom/Venom/Spider-Man est sublime (bon attention j'ai pas dit monumental non plus) sans oublier les répliques de Spidey :
"- Maintenant, voyons voir à qui Vennie parlait... Oh, là.
- Spider-Man, je suis...
- Un autre ? Manquait plus que ça. Blanc, cette fois-ce. Génial. On a pas encore eu de blanc."
On peut aussi noter un M. Li de plus en plus mystérieux (rappellons qu'il est l'alter-égo de Mr Negative, qu'il a un gaz qui peut tuer juste Spider-Man et qu'il a implanter à Hammerhead un squelette en adamantium (squelette en adamantium, ça vous rappelle quelque chose ?). Quand au dessins, à la base je suis pas trop fan de Romita Jr mais je l'aime de plus en plus. Tout comme Coipel semble lié au personnage de Thor, Romita Jr semble lié à Spider-Man. On pourra noter tout de même quelques érreurs : Vin Gonzales est métis, or ici on le retrouve blanc, et Peter dit au début "Ah oui, c'est vrait. il a complètement oublié que je suis Spider-Man. Comme les autres, d'ailleurs.", or Spider-Man lui-même ne se souviens pas de sa vie avant Brand New Day ni de son pacte avec Mephisto, pour lui rien à changé.
On continue avec New Secret Invasion, de Reed et Santucci. Jackpot la super-héroïne, accompagnée de Vin Gonzales, Dexter Bennet, Joe Robertson et Betty Brant sont pourchassés par un super-skrulls ayant les pouvoirs de plusieurs énnemis de Spider-Man. On retrouve aussi Harry Osborn et sa copine Lily Hollister qui eux-aussi éssaient d'échapper aux skrulls tout pas beaux ! C'est l'épisode qui m'a le moins attiré, autant au niveau de l'histoire (on retrouve un peu le même concept que dans Front Line) que du dessin. En fait, tout l'épisode est un combat perpétuel, s'aurait put être intéréssant avec de meilleurs dessins. Les skrulls par éxemple ont l'air totalement ridicules. On pourra noter qu'ici le skrulls-méchant Spider-man croit avoir retrouver Spider-Man grâce à son odorat, comme Venom dans le premier épisode de ce numéro.
Enfin on termine avec Le Directeur de l'Asile (4), de Cage et Blanco, où l'on voit les Thunderbolts repousser l'envahisseur. Norman Osborn, géni machiavélique, remonte petit à petit dans l'estime des américains jusqu'a devenir comme un éxemple. On retrouve d'ailleur cette idée dans les deux premiers épisodes de ce numéro. Norman est de plus en plus présent non seulement dans l'univers de Spider-Man mais aussi dans l'univers Marvel ! L'épisode commence avec une interview en plein combat où le bougre se fait passer pour un patriote, il se met même à pleurer (bon okay, là ça fait un peu trop...). On retrouve un lien avec le Secret Invasion 6, on voit Osborn et sa troupe rejoindre les super-héros à Central Park après "l'appel" de Thor, on avance même un peu plus que Secret Invasion 6. A la fin on voit le président (est-ce vraiment lui ?) qui observe le combat à distance et, voyant Iron Man partir (problème d'armure) demande une entrevue avec Osborn (quand le combat sera fini, bien évidement...). Veut-il remplacer Stark par Osborn aux clefs du SHIELD ?
A noter que Spider-Man 114 contient lui aussi une lythographie (la 2ème pour être précis), toujours de Djurdjevic (vois ci-dessous).
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